Joyeux Noël et bonnes fêtes de fin d'année
à toutes.

 

A BIENTOT EN L'AN 2017
(n° 1 en numérologie)

Tchinn, Tchinn à la nouvelle année
(à boire avec modération bien entendu)

 

 

En réponse à la gentille Nanylyly qui veut connaître mon lieu de résidence, voici quelques indications.

Je suis une bretonne native du 29 (Finistère) ,  expatriée depuis plus de 50 ans en région parisienne que l'on appelle désormais l'Ile de France.

Pfffttt, y'a même pas d'eau autour de cette Ile, seulement un fleuve, la Seine qui la traverse et quelques rivières, la Marne, l'Oise, l'Essonne etc...

Depuis plus de 30 ans, je réside avec ma famille au Sud de la Seine-et-Marne (77), à 50 km de Paris, 20 km de Fontainebleau, 10 Km de Barbizon et de Vaux le Vicomte...

Ici c'est la Grande banlieue (ou Grande couronne) et lors des pics de pollution, il n'y a pas (pas encore) de restriction de circulation à condition, bien entendu, de ne pas se rendre en Petite couronne ou à Paris.

Loin de Paris, le ciel n'est ni bouché, ni voilé, aujourd'hui il est d'un beau bleu clair avec par-ci, par-là quelques nuages blancs qui se promènent. Le soleil brille, mais il ne chauffe guère...

Voilà, Nanylyly, ta curiosité est-elle satisfaite ?

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Avec l'Homme, on a entrepris quelques améliorations dans le logis, d'où mon absence de la toile depuis quelques jours.

Peinture, (salle d'eau), éclairage à revoir où à réadapter etc...

Un nombre de couchage suffisant est aussi à prévoir pour toute la famille qui restera dormir chez nous la nuit de Noël

Ainsi que pour les amis qui vont y réveillonner à la Saint-Sylvestre et devront y dormir après avoir bu du champagne... avec... ou sans modération.
 
Des activités sont aussi à mettre en place pour occuper le p'tit-fils qui sera présent la semaine d'avant Noël... Fête qui réunira toute la famille.

Pour la deuxième année consécutive, pas de sapin à épines chez Jeanne, car  un sapin, grand ou petit, prend de la place, et au bout de quelques jours, même les plus résistants perdent leurs plumes (heu épines) !!!

Mais Noêl sans sapin, ce n'est plus vraiment Noël n'est-ce pas ?

Alors, pour remplacer le vrai sapin, l'Homme a fabriqué un sapin de substitution... voir photos...

 

 

Photo prise l'an dernier.

Faux sapin fabriqué par l'Homme
avec des branches de noisetiers
La garniture est du "made in" Jeanne...

Garanti sans épines... et sans odeur !!!

 

Et la crèche...
créée également par l'Homme il y a quelques années
(base de branches de noisetiers recouvertes d'écorces d'arbres).

Quand ils étaient minots, les p'tits-enfants, adoraient jouer
avec les personnages de la crèche
heureusement très résistants

Vue d'ensemble du sapin et de la crèche
Le tableau a été peint par l'Homme
Il représente les monts d'Alsace
et les deux belle-mères, l'autre... et moi !!!

Que pensez-vous de ce sapin ?

Ok, me direz-vous, il ne perd pas d'épines,
mais est sans odeur...
Oui, bah, tant pis !!!

Bon, y'a plus qu'à... qu'à remonter l'armature du sous-sol,
la fixer au mur, la parer de lumière
et chanter mon
"Beau Sapin" même pas roi des forêts !!!

Connaissez-vous ETRETAT ?
En allant sur Wikipédia on apprend qu'ETRETAT est une station balnéaire située au nord du Havre dans le pays de Caux en Normandie.

Sa renommée est due à ses monumentales falaises de craie blanche et notamment l'Arche d'Aval et l'Aiguille percée.

Etretat fut une ville de villégiature pour les peintres comme Gustave Courbet, Eugène Boudin ou Claude Monet dont les toiles sont éparpillées dans divers musées du vaste monde.

Dés écrivains tels que Gustave Flaubert et Guy de Maupassant avaient eux aussi choisi Etretat comme port d'attache.

 Maurice Leblanc est à l'origine du mythe d'Etretat
Dans son livre "l'Aiguille Creuse"  Arsène Lupin son héros
part à la recherche d'un trésor qui serait caché
dans l'Aiguille creuse.

Résumé inspiré du site Wikipédia.

 

Pour se changer les idées au vu du temps gris,
si en nous allions, en photos, faire un p'tit tour à Etretat

Cette escapade date d'il y a déjà, deux ou trois ans.

C'était le début de l'été, le temps était magnifique,

L'hôtel choisi était idéalement situé face à la mer
et les hautes falaises de craie.

Notre chambre perchée au deuxième étage.
était spacieuse et lumineuse.
Deux grandes baies ouvraient sur un p'tit balcon
dominant la promenade qui longe la plage de galets.
  

J'suis la-haut sur le balcon... Hou, hou... du balcon !!!

 Du lit on avait vue sur la mer...
Le goéland sans gêne avait des vues... sur mes pieds !!!
En vrai cabot, il a même pris la pose !!!

Du balcon, sur la gauche, vue sur la Falaise d'Aval
et sa roche percée

 Sur la droite, vue sur la Chapelle Notre Dame
et un goéland effronté qui avait des vues
sur... les croissants du p'tit déjeuner
qu'il a fallu mettre à l'abri de son bec vorace !!!

Du haut de la falaise d'Aval 
on domine la plage de galets gris et une partie de la ville
 Au loin, la chapelle Notre Dame de la Garde.

De la Falaise d'Amont et de la Chapelle Notre Dame
vue sur la ville, la promenade et la plage de galets

La blancheur de la falaise de craie,
 le vert du parcours de golf et le bleu du ciel et de la mer
forment une un joli contraste
et mettent en valeur l'Arche d'Aval et l'Aiguille creuse

.

Autre vue  plus large sur la ville
Au fond l'hôtel DORMY HOUSE et parcours de golf
de 18 trous.

 

De la falaise d'Amont, de raides escaliers
invitent à la descente
Gare au vertige et aux glissades !!!

 D'en bas les hautes falaises sont impressionnantes.
En se retirant, la mer découvre peu à peu
les petites plages encaissées dans la roche.

Intérieur de la ville
Les jours de marché beaucoup d'étals proposant
des produits régionaux, Cidre, Pommeau, Calvados etc...
Vue du fronton du Marché couvert

 

Vue intérieure du Marché couvert

Détail de la façade d'un hôtel du centre ville

Maisons à colombage, balcons et bow-window sculptés
font le charme des villes normandes

.

La rue principale qui mène à la mer
On y trouve plusieurs bons restaurant

 

A Etretat pour marcher au bord de l'eau on chausse ses "chaussures à cailloux" ; quand à s'étaler sur une fine serviette de bains, on oublie... les galets d'Etretat ne sont pas tendres pour les dos fragiles, ils sont pourtant gros et polis par la mer...

A Etretat il est interdit de ramasser les galets... nombre de panneaux le rappellent,  mais tous les touristes ne savent pas lire... des étrangers ?.. Ah bah !!!

Comme il est interdit de donner à manger aux goélands et aux mouettes, ils se servent eux-mêmes...

Ce sont des spécialistes de hauts vols... de sandwichs, croissants, pains sur les tables, frites, burgers etc...

Les enfants tenant leur goûter au bout de leurs petites menottes sont parmi leurs cibles favorites.

Etretat n'est pas une grande ville, mais il est agréable de flâner dans ses rues, sur sa promenade qui longe la plage de galets et de crapahuter sur ses falaises... ça grimpe.

Nous y sommes allés plusieurs fois, en amoureux ou avec des amis  et chaque fois ce fut un plaisir, on y retournera sûrement...

Et on y mange bien... comme souvent en Normandie.

 

 

Bientôt, les électeurs de droite vont devoir choisir  celui, ou celle, qui les représentera lors de la prochaine élection présidentielle.

Ensuite ce sera au tour des électeurs de gauche d'élire leur champion (ne).

Qui choisir, qui croire, qui sera à nos yeux le plus crédible ?

Tous avec leurs mots (maux ???) ils (ou elles) tentent de nous séduire en nous prédisant des jours meilleurs...  mais on sait bien que toutes ces belles paroles seront vite oubliées dés que lui (ou elle) aura remporté le graal !!! 

Tous n'ont pas le même programme, mais tous n'ont qu'une seule et même chose en vue... notre argent, celui que l'on a comme celui... que l'on n'a pas !!!

 

Voici ci-après un extrait de la pièce de théatre "Le Diable Rouge" écrite par Antoine Rault en 2008.

Dans cette pièce l'auteur attribue la citation ci-dessous à Colbert et Mazarin.

Il est vrai que Mazarin, qui faisait l'éducation du futur Louis XIV, aurait pu échanger ces mots avec Colbert alors que les caisses du royaume étaient vides après les coûteuses guerres menées contre l'Espagne.

Ce n'est qu'une fiction bien sûr et pourtant, je suis sûre qu'elle vous rappellera quelque chose.

Colbert :  Pour trouver de l'argent, il arrive un moment ou tripoter ne suffit plus.  J’aimerais que Monsieur le Surintendant m'explique comment on s'y prend pour dépenser encore quand on est déjà endetté jusqu'au cou.

 Mazarin :  

Quand on est un simple mortel, bien sûr, et qu'on est couvert de dettes, on va en prison. 

Mais l'État, lui, c’est différent, on ne peut pas jeter l'État en prison. 

Alors, l'Etat continue, il creuse la dette ! Tous les États font ça. 

 

Colbert : 

 Ah oui ? vous croyez ? cependant, il nous faut de l'argent. 

 Et comment en trouver quand on a déjà créé tous les impôts inimaginables ? 

Mazarin : 

 On en crée d'autres !!!

 

Colbert : 

Nous ne pouvons quand même pas taxer les pauvres plus qu'ils ne le sont déjà. 

 Mazarin : 

 Oui, c’elà paraît en effet impossible !!! 

 

Colbert : 

Alors, qui taxait, les riches ? 

 Mazarin : 

Ah, non pas les riches, ils ne dépenseraient plus. 

Un riche qui dépense fait vivre des centaines de pauvres ! 

 

Colbert : 

 Alors, comment fait-on ? 

 Mazarin :  

Colbert, tu raisonnes comme un fromage, il y a quantité de gens qui sont entre les deux, ni pauvres, ni riches. 

Des Français qui travaillent, rêvant d'être riches et redoutant d'être pauvres...

C'est ceux-là que nous devons taxer, encore et encore, toujours plus !!!

Ceux là, plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser, c'est un réservoir inépuisable. 

 

De nos jours, il suffit juste de remplacer le nom des personnages par celui du Président et celui de son Ministre des Finances !!!

Quand la réalité dépasse la fiction !!!

 

Ce matin, au menu de ce gros merle
des épluchures de pommes et de légumes.
Hummm.... on dirait qu'il apprécie

Il a de la chance
Capucine la chasseuse n'aime pas la neige !!!

Aujourd'hui, 7 novembre 2016 il a neigé. Ce jour est à marquer d'une pierre blanche, car il est rare quand la neige tombe si tôt en cette saison dans la région.

Les arbres, les toits des maisons, tout était blanc... C'était beau et si silencieux.

Pourtant cette neige n'était pas annoncée, seule la pluie l'était, mais la température proche de zéro a transformé les gouttes d'eau en flocon de neige.

Il a commencé à neiger vers les huit heures du matin et ce pendant environ deux heures sans interruption. La neige tombait drue et abondamment.

Mais en fin de matinée, elle fondait déjà formant des flaques d'eau brunâtres.

Ce ne sont pas les automobilistes franciliens qui se plaindront de sa disparition quand on sait qu'un p'tit cm de neige suffit ici pour neutraliser la circulation sur des kilomètres à la ronde.

Il faut dire que l'absence de pneus neige, de chaines ou encore de salage ou de sablage sur les chaussées et même... de chasse neige y sont pour beaucoup.

Mais ce serait quand même une hérésie pour les communes franciliennes d'investir dans un chasse-neige alors que dans la région les chûtes de neige restent exceptionnelles.

Par ailleurs, les chaînes abiment la chaussée et il ne sert à rien d'avoir des pneus neige pour si peu de... neige.

Quand au salage ou au sablage, tout le monde le sait, les communes n'ont plus de sous pour en acheter... l'Etat se défaussant de tout.

Au vu de cette neige, l'Homme et moi avons décidé de ne pas sortir... inutile de prendre des risques et d'encombrer les routes.

On ne mourra pas de faim, le frigo et le congélateur sont (presque) pleins et il y a suffisamment de farine pour faire du pain et surtout, on a de quoi s'occuper.

Les pommes cueillies les jours précédents vont être transformées en compote, en pâte de fruits etc...

Pendant que tout cela mijotera et qu'une bonne odeur de pommes cuites envahira la la maison, on se mettra au piano afin de faire sonner les notes, do, ré, mi, fa, sol... parfois il y aura des couacs... qui vont inciter les chats à se réfugier ailleurs dans un endroit plus calme !!!

Bon c'est pas tout cela, mais la neige je l'apprécie à la montagne sous un beau ciel bleu, là, la neige fond et nôtre ciel est plombé...