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    Selon le psychiatre  Christophe André, le bonheur ça s'apprend. Et il nous donne des pistes en ce sens dans son petit livre   "Et n'oublie pas d'être heureux" (9,50 € en poche).

    Voici une de ses p'tites piqûres de sagesse.

    L'avenir ce n'est pas ce qui va nous arriver mais ce que nous allons faire".

    Pour mieux appréhender l'avenir, il conseille un p'tit exercice classique de psychologie positive qui aide à travailler en ce sens.

    Pendant quatre jours consécutifs, il est recommandé d'écrire durant VINGT MINUTES, et dans le détail, ce qu'on aimerait que notre existence devienne dans une, deux années :

    A quoi ressemblera notre vie :
    - familiale,
    - amicale,
    - professionnelle,
    - voyages,
    - loisirs etc...

    Pas d'autre règlement que de le faire vraiment.

    Ecrire et ne pas rêvasser;

    VINGT MINUTES et pas une ou deux, écrire de manière précise et détaillée en évitant les vagues formules générales.

    Tous ces éléments, sont importants pour que ça fonctionne, c'est à dire pour que :

    1) cela nous fasse aller mieux
    2) cela facilite aussi notre engagement dans ces projets.

    Cet exercice semble trop facile et trop simple, n'est-ce pas ?

    OK, facile ça l'est, mais pas "trop" j'en ai fais l'expérience.

    Après moult essais et ratures, je suis finalement parvenue à aller au bout des vingt minutes qui m'ont parues une éternité.

    Allez, plus que trois jours pour en venir à bout de cet exercice... j'en bous d'avance !!!

    D'ailleurs l'avez-vous fait, ou le ferez-vous ?

     

    Premier jour :

    Cet exercice m'ayant parut facile, c'est en confiance, que je me suis postée devant ma page blanche, mais là j'ai eu un blanc, rien ne venait.

    Ce ne sont pourtant pas les idées et les projets qui me manquent, bien au contraire, ils se bousculaient même à la porte de ma cervelle, mais rien n'y faisait, j'ai eu du mal à faire le tri, entre ce qui est réalisable et ce qui relève de l'utopie.

    Deuxième jour :

    J'ai eu plus de facilité à écrire pendant le délai imparti. J'ai relu ce que j'avais écris le premier jour et fais le tri entre ce qui est réalisable et ce qui relevait de l'utopie...  

    Ca commence à prendre forme.

    Troisième jour :

    Je me suis carrément projetée au 1er Octobre 2018 et écris au présent en commençant par...

    J'ai acquis...

    J'ai appris...

    J'ai réalisé...

    Quatrième jour :

    Ca y est j'ai fini mon exercice, que j'ai trouvé assez ardu.

    Pour le 3ème et 4ème jour je me suis projetée en Octobre 2018.

    J'ai commencé mon exercice en écrivant, aujourd'hui 1er 0ctobre 2018... j'ai poursuivi l'exercice en résumant ce qui s'est passé dans l'année écoulée en commençant par aujourd'hui :

    Aujourd'hui je suis...

    Aujourd'hui j'ai...

    Aujourd'hui je fais... etc...

    J'ai ainsi jeté des bases sur ce que je voudrai vraiment être, avoir et faire d'ici un an.

     

     


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  • On s'est réveillé ce dimanche 10 septembre sous un ciel chafouin, mais en début d'après-midi, le soleil a daigné faire son apparition.

    Toutefois, il chauffe bien moins qu'il y a encore quelques jours, la journée est un peu fraîche pour un début de mois de septembre... 

    En tous les cas, cette journée devrait être tranquille, sans visites à effectuer ni d'invitations à rendre. De temps en temps cela fait du bien de ne pas avoir d'obligation particulière, ça repose.

    Pour m'occuper, je vais préparer une lessive-maison.

    Pourtant, il y a quelques mois encore, j'avais décidé de délaisser la lessive-maison pour la lessive chimique. En effet, au fil des machines, le linge, lavé avec la lessive-maison sentait de moins en moins bon, malgré les huiles essentielles censées la parfumer.

    Avec la lessive chimique, il n'y a pas d'odeur particulière si ce n'est celle de la lessive choisie, mais le linge lavée avec cette lessive est rêche, notamment les serviettes de toilette. D'ajouter du vinaigre blanc au rinçage ne rendait pas la douceur que j'obtenais avec la lessive-maison.

    Il faut dire qu'à Paris et en l'Ile de France l'eau est très dure.

    Décidée à retrouver un linge plus doux et sentant l'odeur du propre (indéfinissable cette odeur) je me suis mise à faire des tests.

    En alternant les lessives (maison et chimique) et en en tenant compte de la nature du linge et de la température de l'eau, l'odeur n'apparaissait plus, le linge de maison était plus doux et sentait le propre...

    Forte de ce constat, j'ai décidé de procéder ainsi :

    - Lessive-maison, pour le blanc et les couleurs supportant une température de 60° ou plus.

    - Lessive chimique, pour la laine et linge ne pouvant être lavés qu'à froid ou à des températures maximales de 30°/40°.

    Cela fait maintenant plus d'un mois environ que je pratique ainsi et je suis satisfaite du résultat. 

    La température de l'eau y est certainement pour beaucoup. Le savon de Marseille ou d'Alep ont une consistance épaisse et un peu grasse, l'eau très chaude permet une meilleure dissolution des particules... et nettoie la machine des résidus à l'origine des odeurs.

     

    Pour réaliser trois litres de lessive-maison :

    - 3 litres d'eau (du robinet)
    - 100 grs de savon de Marseille (à 72° d'huile d'olive) ou d'Alep
    - 100 grs de bicarbonate de soude (ou 50 grs de bicarbonate et 50 grs de cristaux de soude)
    - 2 verres à moutarde de vinaigre blanc à 8° dilué

    Dans un récipient en plastique d'une contenance d'environ cinq litres (ancien pot de peinture),

    - Faire bouillir un litre d'eau
    - Râper 100 grammes de savon de Marseille ou d'Alep (avec une râpe à légumes ou un économe).
     
    - Verser l'eau bouillante  sur les copeaux de savon, touiller,
       touiller encore jusqu'à la fonte du savon.

    - Laisser reposer une demi-heure
    - Faire bouillir deux litres d'eau
    - Les verser sur le mélange eau/savon

    - Ajouter 100 grs de bicarbonate de soude, (ou 50 grs de bicarbonate et 50 grs de cristaux de soude),
    - Verser par-dessus deux verres de vinaigre blanc, (ça mousse)
    - Re-touiller

    - Laisser reposer quarante huit heures avant utilisation

    Avant chaque machine avec la lessive-maison :
    Bien remuer la lessive avec un fouet.

    Pour une machine de blanc ou couleur à 60° ou plus, compter un verre (moutarde) à un verre demi de lessive-maison (selon le degré de salissure du linge) .

     

    P'tits plus :

    J'achète le savon de Marseille à 72° d'huile d'olive (marques Briochin, le Marseillais ou Epsil) chez Leclerc. On y trouve aussi du bicarbonate de soude et les cristaux de soude (paquets de 500 grs) au rayon des produits responsables.

     

    Je suis quand même un peu déçue de ne pas pouvoir utiliser la lessive-maison pour laver tous sortes de linge, à basse ou haute température.

    Aussi, si l'une de vous à la recette d'une lessive-maison qui ne laisse pas d'odeur, autre que celle du linge propre, je suis preneuse.

     


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  •  

    Cette année les noisetiers sont emplis de fruits... des noisettes bien charnues qui font notre bonheur et aussi celui... des écureuils !!!

    Bon gré, mal gré, il nous faut accepter de les partager avec ces insolentes p'tites bestioles au pelage roux qui font un vrai carnage dans... et sous les arbres.

    Pour avoir des noisettes il est indispensable d'avoir des noisetiers.

    Dans notre jardin il y a trois noisetiers.

     

     Bancs casse-noisettes !!!

     Le premier, prés du toboggan 

    Bancs casse-noisettes !!!

    le deuxième, près de la gloriette...

    Bancs casse-noisettes !!!

    Le troisième..., celui d'un voisin
    qui déborde largement au-dessus du mur de séparation

     

    Dans notre jardin il y a aussi trois bancs de pierre bien utiles pour se reposer, lire, méditer etc... mais pas que... 

     

     Bancs casse-noisettes !!!

    En voici UN ; placé entre deux arbustes fleuris,
    c'est mon préféré.

    Bancs casse-noisettes !!!

    Un deuxième ; c'est l'Homme qui l'a fait il y a quelques années

    Bancs casse-noisettes !!!

    Puis le troisième qui nous a été donné par un voisin

    Ces bancs de pierre sont aussi utiles comme support pour casser les noisettes glanées ici ou la avec le galet placé sur chaque banc et toujours prêt à l'emploi.

    Des galets casse-noisettes quoi !!! 

     

    Bancs casse-noisettes !!!

     Il y a toujours une réserve de galets casse-noisettes...
    pour les visiteurs amateurs de noisettes par exemple !!!

     

    Les galets ne viennent pas d'Etretat, (où il est interdit de les ramasser), mais des Vosges. On en trouve (presque) partout dans les champs après les labours, dans les jardins lors des plantations.

    Très fragiles, ils ont une cassure nette quand on les laisse tomber ; la partie centrale plate est alors très pratique pour casser les noisettes.

    Pour des amateurs de noisettes comme nous, c'est une aubaine d'avoir des noisetiers... une aubaine dont profitent largement les écureuils farceurs.

     

     


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  • Le défi des : "T'es pas cap"...

    Photo internet

    Depuis deux mois environ, comme beaucoup d'actifs, je me suis mise en mode "vacances" (certaines méchantes langues vous diront que les retraités sont toujours en vacances).

    Vacances animées certes mais peu reposantes entre les enfants et amis à héberger, les barbecues et apéros à répétition chez les uns ou les autres (entre deux averses).

    Toutes ces allers et venues m'ont amené à délaisser ce qui, avant, faisait partie de mes p'tites routines journalières tels que :

    - Petit footing de 10 minutes le matin
    - exercice au piano pendant une heure
    - apprendre l'usage d'un pendule
    - reprendre les leçons d'italien (je m'suis arrêtée à la leçon A6)
    - visualisation
    - méditation...
    - écriture...
    etc...

    Aujourd'hui la maison est silencieuse, elle ne résonne plus de cris, ni de rires, ni des cavalcades d'escalier des p'tits-enfants... chacun ayant regagné son chez soi et son p'tit train train quotidien d'avant les vacances.

    Alors pour chasser la mélancolie et relancer la machine quelque peu rouillée, je me suis lancée dès ce matin des défis, à coup de "t'es pas cap", comme les mômes quoi, (tomberai-je déjà en enfance ?)  du genre :

    - t'es pas "cap" de courir 10 minutes aujourd'hui
    - t'es pas "cap" de t'exercer au piano pendant une heure
    - t'es pas "cap" de réapprendre le maniement du Pendule
    - t'es pas "cap" de reprendre les cours d'italien
    - t'es pas "cap" de visualiser
    - t'es pas "cap" de méditer

    - t'es pas "cap" d'écrire un post sur ton blog...

    Auxquels il faut ajouter :
    - t'es pas "cap" de faire un p'tit régime...
    (la faute aux barbecues un peu trop arrosés... pas seulement par la pluie)

     

    Ce soir avant de m'endormir, face à chaque "t'es pas cap", je noterai : pari tenu, ou pari non tenu...

    La journée n'est pas encore finie, mais j'aurai au moins tenu le dernier des : "t'es pas cap"... puisque je poste cet article !!!

    C'est toujours ça de fait... n'est-ce pas Obou ?




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  • Il a plu toute la nuit et une partie de la journée, et là, surprise, le soleil vient de faire son apparition dans un ciel qui bleuit de plus en plus.

    Nous devrions donc avoir une belle soirée.

    Pour autant on ne fera pas de barbecue ; en cause les températures un peu trop basses.

    Pour nous réchauffer je prévois de préparer une flammekuche (ou tarte flambée alsacienne).

     

    Flammekuche  (Photo internet)

     

    J'ai trouvé une recette de pâte sur le site Marmiton facile à réaliser que je trouve excellente.

    Ingrédients pour la pâte :

    - 250 grammes de farine T 45 pour moi (ou à pain)
    - Une cuillère à soupe ou deux d'huile olive ou neutre
    - 12 cl d'eau tiède
    - Une demi cuillère à café de sel

    Mélanger le tout et bien pétrir la pâte au robot ou à la main.

    Personnellement je pétrie la pâte à la main plutôt qu'au robot qu'il faut sortir et nettoyer après usage (je sais, j'suis un peu flemmarde parfois).

    Pétrir la pâte à la main pendant environ cinq à dix minutes comme la pâte à modeler apaise l'esprit, rappelle l'enfance,  et fait fonctionner ses p'tites cellules grises, comme dirait le célèbre détective Pierrot sorti de l'imagination d'Agatha Christie.

    Après avoir partagé la pâte en deux pâtons, j'étale l'un finement et réserve l'autre pour un usage futur (une autre flammekuche ou pizza).

    Garniture et préparation de la flammekuche :

    - deux cuillères à soupe de crème fraiche épaisse
    - un oignon moyen coupé en lamelles très fines
    - 150 grammes de lardons fumés émincés
    - fromage rapé, emmental ou autre selon les goûts

    - étaler un des pâtons en rond (ou en carré ou en rectangle)
    - le recouvrir de crème fraiche épaisse (ou du fromage blanc)
    - poivrer la crème ou le fromage blanc
    - déposer les tranches d'oignon sur la crème
    - parsemer de lardons fumés
    - et du fromage râpé.

    D'autres garnitures peuvent être ajoutées tels que des lamelles de champignons de Paris.

    Cuire la flammekuche environ dix minutes dans un four très chaud (240°)

    Accompagner la flammenkuche d'une salade verte et... d'un p'tit vin d'Alsace...

     

    Profitez du four chaud pour préparer une autre flammekuche avec l'autre pâton qui pourra être congelée, ou éventuellement une pizza, pour les amateurs de pizzas à pâte fine.

    Avec le retour du soleil et un bon p'tit repas maison, la soirée promet d'être belle.

     


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