• Ce Dimanche au déjeuner, il était prévu un bœuf bourguignon.

    Toute la nuit, la viande a été mise à mariner dans un bon vin. Un bourgogne aurait convenu, mais dans la cave il n'y avait que du bordeaux.

    Un bourguignon pour être savoureux doit mijoter au minimum deux heures, voire plus dans une cocotte en fonte ou autre.

    Oui, mais voila... hier soir samedi nous étions de sortie et le coucher a été tardif, très tardif même...

    L'Homme et moi avons été réveillés par les trois chats de la maison. Ils étaient affamés.

    Les chats ont une tactique imparable pour nous faire sortir du lit... Ils grimpent sur les lits et font des papouilles sur nos estomacs et si ça ne suffit pas, se postent sur l'oreiller au-dessus de nos têtes, mordillent les  cheveux en les tirant, et si vraiment, vraiment rien ne bouge, ils vous font un début de toilette en vous léchant le visage.... 

    Ceux qui ont des chats comprendront. La langue rapeuse d'un chat sur le visage, alors que l'on est encore dans les bras de Morphée... ça réveille...

    Il était plus de 11 heure du matin quand on a enfin atterri   dans la cuisine pour le grand bonheur des chats qui s'enroulaient autour de nos jambes pendant la préparation de leurs gamelles.

    Au vu de l'heure avancée dans la matinée, j'ai suggéré à l'homme que nous pourrions déjeuner d'une p'tite omelette bien plus rapide à cuisiner qu'un bourguignon.

    Avec une p'tite salade verte, une omelette bien baveuse, c'est pas mal non plus.

    Mais c'est un bourguignon qui était prévu et l'Homme a frisé du nez ; l'omelette n'était en rien comparable à un bourguignon. Et puis il paraît que je suis la reine du bourguignon.

    Je devais être encore à moitié endormie pour m'être laissée flatter aussi platement.

    Heureusement, il y a la cocotte-minute... c'est quand même une belle invention la cocotte-minute. Toujours prête à sauver les cuisinières lève-tard comme moi.

    Après une pré-cuisson de la viande et des oignons dans un fait-tout lambda, j'ai transvasé le tout dans une cocotte-minute.

    Un coup de chauffe sous la cocotte-minute pour faire partir le bouillon, et zou... c'est parti pour la cuisson.

    Après chuchotement du bouchon-vapeur, il suffit de baisser le feu. Pas besoin de touiller, ni de craindre que ça attache, ça cuit tout seul sans surveillance ou presque.

    Sauf à guetter l'horloge, il ne faudrait pas que la viande choisie avec amour se transforme en une bouillie infâme.

    Le livre de recette offert lors de l'achat de la cocotte-minute préconise une heure de cuisson, mais pour l'avoir déjà expérimenté, je conseille d'éteindre le feu au bout de trois quart d'heure, d'attendre environ cinq bonnes minutes avant d'ôter le bouchon-vapeur.

    Trois quart d'heure de cuisson au lieu d'une heure, c'est plus que suffisant même pour un bourguignon.

    Pendant que la cocotte chuchote, il est temps de préparer les champignons de Paris en les cuisant à part dans une poêle avec des p'tits lardons fumés.

    Pour accompagner le bourguignon  quelques pommes de terre vapeur qui cuiront elles aussi, quinze minutes, dans la p'tite cocotte-minute.

    Au bout d'une heure tout est prêt.

    La viande est tendre sans être archi-cuite, et la sauce onctueuse à souhait, idéale pour être "saucée" par une écrasée de pommes de terre vapeur.

    les bonnes odeurs ont titillé les narines, et fait gargouiller les estomacs, c'est avec appétit que ce délicieux bourguignon a été dégusté.

    Ca valait le coup d'attendre, et c'était autrement plus goûteux qu'une banale p'tite omelette... aussi baveuse soit-elle.

     


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  • Selon le code du savoir-vivre et de bonnes manières on ne doit pas lâcher les gaz en société.

    Pourtant quoi de plus naturel, et c'est un gage de bonne santé, alors... lâchons-nous... hi, hi...

     

    Roter, péter... 

    Un être humain produit de 0,6 à 1,8 l de gaz par jour... Eructations et flatulences sont des réflexes naturels pour expulser l'air stocké dans notre système digestif.

    Résultat, une personne en bonne santé a des flatulences (ou pets), environ 12 à 25 fois pas jour. En principe surtout la nuit... en principe !!!

    les éructations (ou rots), apportent un soulagement immédiat, cela arrive souvent après un copieux repas.

    C'est vrai qu'en société on peut avoir une forte envie de lâcher des gaz...  quand cela arrive, on les espère ni bruyants, ni malodorants... Sinon quelle honte !!

     

    Se ronger les ongles

    Selon des scientifiques, "les bactéries avec lesquelles on est mis en contact lorsqu'on se ronge les ongles renforcent notre système immunitaires".

    Je n'ai jamais eu cette manie de me ronger les ongles, et malgré les "bonnes bactéries", je n'ai pas vraiment envie de m'y mettre.

     

    Faire craquer ses jointures

    Modifie la micro-mobilité de l'articulation de façon transitoire ce qui explique la sensation de bien-être ressentie par les "craqueurs".

    Je ne suis pas une "craqueuse". Et à vrai dire, les "craqueurs" m'énervent... hi, hi...

     


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    Nouvelles du front...

    Photo prise au Guilvinec... en Juillet 2017

     

    La période des fêtes s'éloigne, c'était bien, très bien même, donc  pas de regret à avoir, et puis on sait qu'elles reviendront...

    Si au moins les deux/trois kilos pris à cette occasion pouvaient s'éloigner eux aussi, mais non... pffttt !!!

    Dimanche dernier la journée a été très agréable, un peu fraîche mais bien ensoleillée, mais les jours suivants, on aurait pu chanter, il pleut, il pleut... bergère...

    J'ai voulu voulais faire une p'tite marche, mais j'ai du faire demi-tour. Certes quand on est bien couvert, la pluie n'est pas gênante mais quand le vent s'en mêle et vous envoie des paquets d'eau en pleine face ça refroidit.

    Marcher sous la pluie ou sous le vent peut être agréable, mais c'est l'un ou l'autre, pas les deux à la fois.

    Puisque je ne peux sortir, j'en profite pour m'occuper du vin de noix préparé en Juillet que j'avais délaissé. J'avais fais mariner dans un grand récipient en porcelaine, des noix vertes dans du vin rouge, mais j'ai complétement oublié d'y ajouter l'eau de vie et le sucre.

    En regardant mieux la recette je me suis aperçue que j'aurai du faire mariner les noix dans l'eau de vie et non dans le vin. J'ai fais l'inverse, tant pis, je ne vais pas tout jeter. Parfois les erreurs vous réservent d'agréables surprises.

    N'ayant pas d'eau de vie de fruits dans le placard, je l'ai remplacée par de la "gnole" offerte par un ami il y a un an ou deux, et que l'on ne consomme pas. Ca devrait le faire, la gnole ou l'alcool de vie c'est kif, kif bourricot... ou Ka-i-man pareil comme disait ma maman. 

    Dans les prochains jours, j'ajouterai à l'ensemble une orange bio et quelques clous de girofle et si tout va bien, ce vin de noix devrait être parfait... dans six mois... en été...

    J'ai aussi préparé une lessive maison.

    Il y a quelques temps j'avais décidé de ne plus utiliser la lessive-maison à cause de l'odeur que dégageait la machine.  Mais avec la lessive chimique, je ne retrouve pas la douceur du linge, (ici l'eau est très calcaire) les serviettes de toilette notamment étaient rêches.

    Maintenant j'alterne :
    - lessive-maison avec le linge blanc et certaines couleurs ;
    - lessive chimique (bio) pour le lainage et articles délicats.

    J'ai ainsi résolu le problème des odeurs.

    Dimanche prochain c'est mon tour de recevoir six de nos amis. J'ai arrêté le menu, ce sera tajine de cuisses de poulet aux citrons confits et olives vertes, avec du couscous comme accompagnement.

    Ce plat nous changera des foies gras, dindes, magrets, homards et autres crustacés dégustés pendant les fêtes.

    Mais je crains qu'on n'échappe à la galette des rois. L'Homme adore faire des galettes des rois fourrés aux pommes fruit compotées qu'il réussit d'ailleurs très bien... Mais après un tajine, un dessert plus léger aurait mieux convenu.

    Comme par exemple, une salade d'oranges sanguines épicées avec une crème fraîche liquide parfumée à la fleur d'oranger, ou autre parfum,  encore faut-il que je trouve des oranges sanguines.

    J'ai rangé la crèche, mais pas n'ai pas défait le sapin de bois qui est encore accroché au mur.

    S'il est encore là à Pâques, j'enlèverai boules, guirlande et petits sujets de Noël, pour les remplacer pas des poules, des lapins et des cloches au chocolat...hi, hi...

    Portez-vous bien


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    bonne-année.jpg

    Photo internet

     

    Contrairement à la SNCF, je ne crois pas être en retard, pour souhaiter à toutes celles et à tous ceux d'entre vous qui passeraient par là...

    - une année que je vous espère bonne... bien évidemment
    - une année que je vous espère heureuse... tant qu'à faire
    - une année qui vous garde en bonne santé... c'est l'essentiel.

    C'est bien connu, les souhaits ne coûtent rien à ceux qui les formulent... mais font du bien à ceux qui les entendent.

    La nouvelle année, c'est en Bretagne, au Guilvinec pour être précis, que mon époux et moi l'avons fêté, avec de bons amis.

    La tempête Carmen nous a permis d'admirer de fortes houles avec de grosses vagues qui s'écrasaient à grand fracas sur les plages et les digues...

    Sur la route du retour, un p'tit arrêt dans une crêperie à Saint-Goustan près d'Auray, où nous avons déguster de délicieuses crêpes au sarrasin bien garnies.

    Ce court séjour en Bretagne fut un peu trop court, bien trop court... le cat-sitter ne pouvant garder nos trois félins que du 28 décembre 2017 au 02 janvier 2018.

    En effet, nous sommes les esclaves de trois chats qui demandent amour et attention, même lors de nos p'tites escapades...

    Malgré cela, et malgré la tempête Carmen, nous avons bien profité du grand air, pur et iodé de Bretagne. Nous voila bien requinqués, apte à tenir, au moins, jusqu'à la fin de l'hiver.

    Cerise sur le gâteau, nous sommes en bonne santé, pas de toux, ni de reniflements... pourvu que ca duurrrr...

    Ze touche du bois, on n'sait jamais.

     


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